Les mouvements d'ultra-droite, jugés de plus en plus dangereux, sont aujourd'hui dans le collimateur de la justice. La plupart d'entre eux ont été dissous et même interdits. Regroupés en réseaux clandestins, ces groupes prônent l'action violente, dans le but de précipiter la guerre civile raciale. Ils se réorganisent, partout en Europe, et sont super connectées. Forums internet, réseaux sociaux et même ouvrages négationnistes vendus sous le manteau.
Cette nouvelle génération identitaire, nostalgique du IIIe Reich, s'appuie sur une idéologie raciste et ultra-nationaliste et tente d'infiltrer certaines unités de police, de pompiers, jusqu'aux corps militaires. Ses cibles : les musulmans, les juifs, les migrants, sans oublier les responsables associatifs de gauche qui, selon eux, menaceraient la patrie d'un "grand remplacement" racial.
Aujourd'hui, en France, ils sont 3 000 militants d'ultra-droite à être sous surveillance. Et 1 300 d'entre eux sont fichés S. Une [...]